Le "Ruissellement Inversé" : Pourquoi la solidarité est un frein à la croissance
Une étude commandée par le Ministère auprès du cabinet "McKinsey & Friends" démontre formellement l'inefficacité des aides sociales. Le constat est sans appel : les populations précaires ont une fâcheuse tendance à dilapider l'argent public dans des biens de consommation éphémères, notamment la nourriture.
Analyse de l'utilisation d'une aide de 100€
Conclusion : L'argent est littéralement détruit par le métabolisme.
Conclusion : L'argent est sécurisé et fructifie loin du fisc.
L'alimentation : ce gouffre financier
Il est temps de briser un tabou. Donner de l'argent aux pauvres est économiquement absurde. Dès qu'ils reçoivent une allocation, ils courent au supermarché pour acheter des pâtes, du riz ou, pire, des légumes.
Or, comme l'explique Jean-Eudes de la Rente, économiste en chef : "Un paquet de pâtes acheté est un paquet de pâtes mangé. L'actif disparaît. C'est de la destruction de valeur pure et simple. Alors que si vous donnez ce même argent à une multinationale, elle le stocke dans un paradis fiscal où il reste éternel."
Vers une "Pédagogie de la Faim"
Pour responsabiliser les plus modestes, le gouvernement propose de remplacer les aides monétaires par des "Encouragements Moraux".
- Suppression du SMIC : Pour permettre aux pauvres de découvrir la joie de travailler pour la gloire.
- Taxe sur la pauvreté : Une amende forfaitaire pour ceux qui n'ont pas réussi, afin de les motiver à devenir riches.
- Jeûne citoyen : Remplacer un repas par jour par une minute de silence pour la dette publique.
Le concept de "Ruissellement Inversé" (Capillarité)
Tout comme l'eau s'évapore vers le ciel, l'argent des pauvres doit naturellement remonter vers les riches (le ciel économique). C'est un cycle naturel qu'il ne faut pas perturber avec des taxes sur les superprofits.